Le Journal de Montréal en a cité l’extrait suivant :
« Ce qu’implique le raisonnement du procureur général, c’est que dès que le législateur utilise [la clause dérogatoire], c’est qu’il ne peut plus avoir tort. Il doit y avoir une ligne qui est tracée, dans un contexte où il n’y aurait aucun garde-fou pour la protection d’une minorité religieuse vulnérable »
Le lien complet vers l’article est disponible ici.